PETITION A SIGNER
Auteur : fspb
Créé le 08/10/2012 - Fin le 01/01/2013
4366 signatures
À l'attention de Aux Laboratoires Pharmaceutiques et au Ministère des Affaires sociales et de la Santé
Pour la suppression de l'aluminium dans les vaccins
Comme de nombreux parents, nous sommes confrontés à cette alternative impossible: vacciner nos petits en les intoxiquant à l'aluminium (hydroxyde, phosphate etc.) ou ne pas les vacciner (MAIS...certaines vaccinations sont obligatoires pour entrer en l'école maternelle).
Or, l'un de nos enfants présente des signes de nervosité et d'hyperactivité (cris intempestifs sans raison, tics nerveux, gestes brusques et violents, etc.) qui nous amènent à nous interroger sur l'injection du rappel des 15/16 mois, simple principe de précaution... (nous n'avons pas pu éviter la primo-injection par manque d'informations...). Nous insistons: nous n'incriminons pas le vaccin, mais les adjuvants.
Nous faisons ce constat après avoir interrogé, dans un premier temps, de nombreux pharmaciens, alors que nous cherchions des vaccins prescrits par un pédiatre (méningite, diphtérie, coqueluche, tétanos, poliomyélite pour l'un, tuberculose pour le second). S'il existe des vaccins sans adjuvant "aluminium", pour l'heure, les officines n'en possèdent pas!!!
Certains pharmaciens nous ont conseillés de nous adresser à l'institut Pasteur, ce que nous avons fait. Il nous a été clairement expliqué que Pasteur mettait à disposition un principe actif et que l'addition d'adjuvants tel que le mercure ou l'aluminium était de l'unique décision de l'industriel commercialisant le vaccin.
Nous nous sommes donc adressés aux industriels en question, leur demandant où et quand l'on pourrait se procurer un vaccin sur un adjuvant sans danger...Aucune réponse: mutisme absolu et désespérant d'autant que, comme de nombreux parents, nous retardons, de cet unique fait, la vaccination de nos enfants.
Cette situation devient intolérable. Il n'est qu'une action collective des "consommateurs" que nous sommes qui pourrait modifier la donne.
Il n'y a que nous, utilisateurs et consommateurs qui pouvons mettre fin à des pratiques qui privilégient le rendement (l'aluminium permet de réduire la quantité de principe actif par vaccin).
Nous exigeons d'avoir le choix d'un vaccin sur un adjuvant qui a fait les preuves de son innocuité, comme c'était le cas jusqu'en 1982.