SILENCE, ON VACCINE
SILENCE, ON VACCINE
Seule la peur programmée peut nous amener à devenir des moutons....
MAIS LE SILENCE NE DOIT PAS DEVENIR CONTAGIEUX !
Le passé nous a déjà montré que le silence, que l'on dit si bénéfique
(Ce "On", ne serait-ce donc pas les thuriféraires des lobas et de toutes les
dictatures ? :oD), peut devenir dangereux si la vie d'un seul être humain
risque d'être compromise à cause de notre silence ou passivité !
Merci donc à vous tous chers lecteurs et amis d'avoir la même
détermination que moi à faire passer l'information, de manière à ce qu'elle
soit entendue même par ceux qui s'obstinent à rester imperturbablement "sourd-dingue"!!!
Et c'est pour cela que je ne me tairais pas et continuerais tant que je le pourrais à clamer la vérité qui dérange !!!
Merci de regarder et faire regarder ce film en diffusant ce message très largement!
IMPORTANT
L'ONF a permis la sortie du documentaire sous condition qu'aucune
personne, aucun commerce, ne puisse acquérir le film pour la revente. De
plus aucune publicité ne sera faite pour faire connaître la sortie DVD.
Conséquemment
la population ne sera pas informée de la sortie du documentaire. Pour
cette raison, je vous remercie de faire parvenir ce courriel à tous vos
contacts, que l'information circule, et que la sortie du documentaire
ne reste pas sous silence. (Attention, pour certaines personnes, il
sera nécessaire de cliquer sur chaque minutage sous l'écran pour
visualiser tout le documentaire de l'Office Nationale du Film.
http://www.france5.fr/et-vous/France_5_et_vous/Demandez_le_programme/LE_MAG/LE_MAG_N_50/articles/p-1222-Silence_on_vaccine.htm)
Si le lien ne marche pas pour voir le documentaire, celui-ci devrait marcher :
http://video.google.com/videoplay?docid=8503852033482537965#
La polémique concernant les risques accrus de développer une sclérose en plaques à la suite d'une vaccination contre l'hépatite B n'est pas morte. Illustré par des témoignages douloureux et étayé par des explications scientifiques, ce documentaire dérangeant propose de faire la lumière sur ces vaccins qui se transforment en poison dans un nombre croissant de cas.
Du mercure et de
l'aluminium : ce sont les substances que l'on peut trouver dans
certains vaccins administrés aux enfants de manière récurrente dès leur
plus jeune âge. Même si ceux-ci ont permis aux sociétés occidentales de
maîtriser des fléaux comme les hépatites, le tétanos ou la
poliomyélite, ce film avance qu'ils ont probablement favorisé le
développement de maladies neurologiques, dermatologiques ou
rhumatologiques. A Québec, les parents du petit Alexis, 2 ans et
atteint d'une encéphalite, en témoignent. Depuis qu'on lui a injecté
six vaccins dans la même journée, Alexis « ne sait plus avaler, ne sait
plus parler, ne sait plus marcher ». Des études épidémiologiques
américaine, française et canadienne laissent penser que le mercure,
présent sous forme de conservateur dans certains vaccins courants comme
l'antitétanique ou les antigrippaux, entraînerait des troubles du
comportement et du développement. D'autres vaccins à base d'aluminium
cette fois, à l'instar des antihépatites, pourraient provoquer des
maladies neuromusculaires (lire l'encadré).
Aurélie, une jeune femme pleine de vie malgré sa maladie, explique
qu'elle a manifesté les premiers symptômes de la sclérose en plaques à
la suite d'une vaccination contre l'hépatite B.
Bien que le
nombre de victimes augmente, notamment parmi les enfants, les
associations ont du mal à les faire reconnaître et indemniser, car le
lien de causalité entre les pathologies et le vaccin est difficile à
prouver. Aux États-Unis, Dan Burton, un membre du Congrès, a ouvert une
enquête parlementaire sur la nature des produits contenus dans les
vaccins et leurs effets sur la population. L'élu républicain regrette
la négligence des autorités américaines, qui ont avalisé la mise sur le
marché de vaccins dont la toxicité n'a jamais véritablement été
évaluée. Il explique en outre que l'industrie pharmaceutique constitue
« le groupe de pression le plus puissant de Washington », ce qui rend
toute évolution législative en la matière impossible.
S'ajoutent à
l'hostilité des acteurs économiques et à l'immobilisme des politiques
les réticences du monde médical à remettre en cause les bénéfices des
vaccins. Des réactions alarmistes pourraient en effet mettre en péril
l'enjeu de santé publique que constitue la vaccination. Barbara Loe
Fisher, présidente du Centre national d'information sur la vaccination
aux États-Unis, s'interroge sur le caractère « utilitariste » de ces
politiques de santé publique : « Combien de personnes peut-on sacrifier
pour le bien de la majorité ? »
Les victimes et les associations
qui les défendent revendiquent le droit d'être informées des produits
contenus dans les vaccins et des risques encourus à la suite de leur
injection. Ils émettent des réserves concernant les contraintes légales
de vaccination et réclament des indemnisations en cas d'effets
indésirables invalidants. Rompre l'omerta qui règne sur la possible
toxicité de certains vaccins permettrait d'améliorer leur innocuité. Ce
qui profiterait, d'une part, à la santé publique et limiterait, d'autre
part, les drames d'individus qui développent une maladie en ayant voulu
en prévenir une autre.
Gaëlle Gonthier
Lourds soupçons sur certains composants
Le
thimérosal est un agent conservateur à base de mercure présent en
quantité infime dans les vaccins antitétanique, antigrippaux,
antidiphtérique parmi d'autres. Selon certaines études, il pourrait
entraîner des troubles neurologiques, dont des comportements
autistiques.
L'aluminium est un adjuvant présent dans les vaccins
antihépatites qui permet de stimuler la réaction de l'organisme contre
la particule virale injectée lors de la vaccination. Il favorise donc
l'immunisation de l'organisme vacciné. Au demeurant, ce composant
additionnel est soupçonné de favoriser le développement de maladies
neuromusculaires.