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MON COMBAT CONTRE LA FYBROMYALGIE
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MON COMBAT CONTRE LA FYBROMYALGIE
  • La vie est un combat et malgré les maux, il nous faut avancer sur le chemin de notre destinée... - Attention, nous sommes ni médecins, ni thérapeutes. Vous devez absolument consulter avant de changer, arrêter ou prendre un traitement.
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26 septembre 2009

SILENCE, ON VACCINE

SILENCE, ON VACCINE

Seule la peur programmée peut nous amener à devenir des moutons....

MAIS LE SILENCE NE DOIT PAS DEVENIR CONTAGIEUX !

Le passé nous a déjà montré que le silence, que l'on dit si bénéfique
(Ce "On", ne serait-ce donc pas les thuriféraires des lobas et de toutes les
dictatures ? :oD), peut devenir dangereux si la vie d'un seul être humain
risque d'être compromise à cause de notre silence ou passivité !
Merci donc à vous tous chers lecteurs et amis d'avoir la même
détermination que moi à faire passer l'information, de manière à ce qu'elle
soit entendue même par ceux qui s'obstinent à rester imperturbablement "sourd-dingue"!!!

Et c'est pour cela que je ne me tairais pas et continuerais tant que je le pourrais à clamer la vérité qui dérange !!!

Merci de regarder et faire regarder ce film en diffusant ce message très largement!

IMPORTANT

L'ONF a permis la sortie du documentaire sous condition qu'aucune
personne, aucun commerce, ne puisse acquérir le film pour la revente. De
plus aucune publicité ne sera faite pour faire connaître la sortie DVD.
Conséquemment la population ne sera pas informée de la sortie du documentaire. Pour cette raison, je vous remercie de faire parvenir ce courriel à tous vos contacts, que l'information circule, et que la sortie du documentaire ne reste pas sous silence. (Attention, pour certaines personnes, il sera nécessaire de cliquer sur chaque minutage sous l'écran pour visualiser tout le documentaire de l'Office Nationale du Film.

http://www.france5.fr/et-vous/France_5_et_vous/Demandez_le_programme/LE_MAG/LE_MAG_N_50/articles/p-1222-Silence_on_vaccine.htm)

Si le lien ne marche pas pour voir le documentaire, celui-ci devrait marcher :

http://video.google.com/videoplay?docid=8503852033482537965#

La polémique concernant les risques accrus de développer une sclérose en plaques à la suite d'une vaccination contre l'hépatite B n'est pas morte. Illustré par des témoignages douloureux et étayé par des explications scientifiques, ce documentaire dérangeant propose de faire la lumière sur ces vaccins qui se transforment en poison dans un nombre croissant de cas.

Du mercure et de l'aluminium : ce sont les substances que l'on peut trouver dans certains vaccins administrés aux enfants de manière récurrente dès leur plus jeune âge. Même si ceux-ci ont permis aux sociétés occidentales de maîtriser des fléaux comme les hépatites, le tétanos ou la poliomyélite, ce film avance qu'ils ont probablement favorisé le développement de maladies neurologiques, dermatologiques ou rhumatologiques. A Québec, les parents du petit Alexis, 2 ans et atteint d'une encéphalite, en témoignent. Depuis qu'on lui a injecté six vaccins dans la même journée, Alexis « ne sait plus avaler, ne sait plus parler, ne sait plus marcher ». Des études épidémiologiques américaine, française et canadienne laissent penser que le mercure, présent sous forme de conservateur dans certains vaccins courants comme l'antitétanique ou les antigrippaux, entraînerait des troubles du comportement et du développement. D'autres vaccins à base d'aluminium cette fois, à l'instar des antihépatites, pourraient provoquer des maladies neuromusculaires (lire l'encadré). Aurélie, une jeune femme pleine de vie malgré sa maladie, explique qu'elle a manifesté les premiers symptômes de la sclérose en plaques à la suite d'une vaccination contre l'hépatite B.

Bien que le nombre de victimes augmente, notamment parmi les enfants, les associations ont du mal à les faire reconnaître et indemniser, car le lien de causalité entre les pathologies et le vaccin est difficile à prouver. Aux États-Unis, Dan Burton, un membre du Congrès, a ouvert une enquête parlementaire sur la nature des produits contenus dans les vaccins et leurs effets sur la population. L'élu républicain regrette la négligence des autorités américaines, qui ont avalisé la mise sur le marché de vaccins dont la toxicité n'a jamais véritablement été évaluée. Il explique en outre que l'industrie pharmaceutique constitue « le groupe de pression le plus puissant de Washington », ce qui rend toute évolution législative en la matière impossible.
S'ajoutent à l'hostilité des acteurs économiques et à l'immobilisme des politiques les réticences du monde médical à remettre en cause les bénéfices des vaccins. Des réactions alarmistes pourraient en effet mettre en péril l'enjeu de santé publique que constitue la vaccination. Barbara Loe Fisher, présidente du Centre national d'information sur la vaccination aux États-Unis, s'interroge sur le caractère « utilitariste » de ces politiques de santé publique : « Combien de personnes peut-on sacrifier pour le bien de la majorité ? »
Les victimes et les associations qui les défendent revendiquent le droit d'être informées des produits contenus dans les vaccins et des risques encourus à la suite de leur injection. Ils émettent des réserves concernant les contraintes légales de vaccination et réclament des indemnisations en cas d'effets indésirables invalidants. Rompre l'omerta qui règne sur la possible toxicité de certains vaccins permettrait d'améliorer leur innocuité. Ce qui profiterait, d'une part, à la santé publique et limiterait, d'autre part, les drames d'individus qui développent une maladie en ayant voulu en prévenir une autre.

Gaëlle Gonthier

Lourds soupçons sur certains composants

Le thimérosal est un agent conservateur à base de mercure présent en quantité infime dans les vaccins antitétanique, antigrippaux, antidiphtérique parmi d'autres. Selon certaines études, il pourrait entraîner des troubles neurologiques, dont des comportements autistiques.
L'aluminium est un adjuvant présent dans les vaccins antihépatites qui permet de stimuler la réaction de l'organisme contre la particule virale injectée lors de la vaccination. Il favorise donc l'immunisation de l'organisme vacciné. Au demeurant, ce composant additionnel est soupçonné de favoriser le développement de maladies neuromusculaires.

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