La controverse vaccinale
La
politique criminelle - 2003 La
controverse vaccinale Pourquoi le consentement
pleinement éclairé doit être instauré lors de tout vaccin. Source :
http://www.immed.org/autoimmune/CrimPol_Vaccines_03.rtf Auteur : Dr Gareth Nicolson La plupart des Etats
(aux USA) exigent maintenant que les enfants reçoivent jusqu'à 34 doses d’au moins 10 vaccins différents. Ces vaccins sont censés les protéger contre une variété de maladies importantes ; cependant, les programmes de vaccination exigée pour des enfants ont
été critiqués comme contribuant à l’immuno-suppression et laissant des participants à ces programmes plus ouverts aux infections opportunistes au
lieu de se trouver résistants aux infections… Certaines de
ces séries de polypeptides semblent imiter certains des ordres normaux sur les
surfaces de cellules des cellules nerveuses actuelles dans le cerveau humain.
Ainsi l'immunisation avec le vaccin de recombinaison de hepB peut augmenter le
risque d'autoimmunité. Récemment la France est devenue le premier pays pour
terminer un programme de vaccin de hepB. Le ministère de la santé français a agi
quand des plaintes de la sclérose en plaques, du rhumatisme articulaire et
d'autres maladies chez des patients qui ont reçu le vaccin de hepB ont été
rapportées. Après la guerre du golfe Persique, plus de 150.000
vétérans ont connu la déchéance avec les maladies de la guerre du Golfe (GWI),
les maladies de fatigue chronique semblables au CFS ou encéphalomyélite
myalgique. Bien que la majeure partie de l'attention des recherches sur les causes de GWI se soit
concentrée sur des expositions chimiques et radiologiques, à l'Institut pour la
médecine moléculaire (www.immed.org) nous avons trouvé et avons édité cela plus
de 40% de patients de GWI avons fait provoquer une infection peu commune par des
Mycoplasma fermentans, de petites bactéries sans mur rigide de cellules de
polysaccharides qui ont été impliquées dans une variété de maladies chroniques.
Extrait
Bien que
ce résultat ait été vigoureusement nié par le Département de la Défense, une
grande étude entreprise par le service des Anciens Combattants a abouti au même résultat, presque avec la
même exactitude dans plus de 1.500 cas de GWI.
En outre, d'autres groupes de recherche ont maintenant publié des résultats semblables sur des infections de M. fermentans chez des patients de GWI. Dans beaucoup de cas, les membres immédiats de la famille des vétérans semblent avoir lentement développé les signes et les symptômes semblables au syndrome de la Guerre du Golfe. Une évaluation a émané du Sénat des ETATS-UNIS selon laquelle des enquêtes auprès de 1.200 familles de vétérans de la Guerre du Golfe ont indiqué qu'approximativement 77% de conjoints et 65% d'enfants soutenus après la guerre ont maintenant les signes et les symptômes de GWI.
Chaque membre de la famille n'a pas développé le syndrome de la Guerre du Golfe, mais bien ceux qui ont eu des signes et symptômes semblables et des infections semblables, telles que l'infection mycoplasmique décrite ci-dessus…
La pierre angulaire de la bioéthique médicale est le consentement informé. Il faut mettre fin au flagrant mépris manifesté à cet égard par les promoteurs des vaccins, afin que chaque citoyen soit en mesure de prendre en connaissance de cause des décisions éclairées quant aux procédures susceptibles d’entraîner des risques pour eux et pour leurs proches.