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MON COMBAT CONTRE LA FYBROMYALGIE
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MON COMBAT CONTRE LA FYBROMYALGIE
  • La vie est un combat et malgré les maux, il nous faut avancer sur le chemin de notre destinée... - Attention, nous sommes ni médecins, ni thérapeutes. Vous devez absolument consulter avant de changer, arrêter ou prendre un traitement.
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15 octobre 2012

Avoir un généraliste est capital!

Avoir un généraliste
Est capital !

 

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Quel que soit son âge, on a tout intérêt à avoir un médecin généraliste, si on veut assurer en bonne intelligence sa santé pour les 20-30 ou 50 années à venir. Car qui mieux qu’un généraliste peut garder une vue d’ensemble sur l’historique d’un patient et l’aider à gérer au mieux sa santé?

La mission du généraliste consiste à écouter, informer, rassurer, dédramatiser et accompagner le patient dans sa démarche de santé et à faire de la prévention. Autour de 40 ou 50 ans, en absence de maladie chronique ou de tout problème de santé antérieur, il veille surtout à faire de la prévention primaire (prévenir la survenue de maladies ou de troubles). Ce qui n’est pas forcément simple car une personne qui ne sent rien, n’est pas malade et qui n’a mal nulle part ne va pas forcément voir son généraliste. C’est pourtant un âge intéressant pour faire un bilan complet et évaluer le risque d’apparition de certains troubles ou pathologies , en tenant compte du sexe du patient, de son mode de vie et de tous les facteurs environnants auxquels il est confronté.

Faire de la bonne prévention primaire permet d’éloigner le recours éventuel aux médicaments et/ou aux interventions médico-chirurgicales. Donc, si on n’a pas de généraliste à 45 ou 50 ans, il est utile de s’en trouver un pour faire un check-up et ouvrir un dossier médical global pour regrouper des informations importantes et des valeurs de références utiles pour envisager les prochaines années. Et quel que soit l’âge du patient (60, 70 ou 80 ans), le but en absence d’historique médical, d’antécédents familiaux ou de facteurs de risques particuliers, est de pouvoir continuer à faire de la médecine préventive le plus longtemps possible ! En présence d’une maladie, le rôle du généraliste est bien sûr différent. Il consiste à suivre le patient de près et à l’accompagner dans un premier temps dans son traitement et une fois guéri, de l’inviter à faire de la prévention secondaire pour éviter les récidives ! La prévention secondaire est généralement plus facile à faire admettre au patient parce qu’il a eu peur ou a vécu un épisode douloureux. Il a donc pris conscience des enjeux et n’a pas forcément envie de revivre ce qu’il a déjà vécu avec angoisse.

 

 

 

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http://www.topicsante.be/

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