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MON COMBAT CONTRE LA FYBROMYALGIE
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MON COMBAT CONTRE LA FYBROMYALGIE
  • La vie est un combat et malgré les maux, il nous faut avancer sur le chemin de notre destinée... - Attention, nous sommes ni médecins, ni thérapeutes. Vous devez absolument consulter avant de changer, arrêter ou prendre un traitement.
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23 février 2010

IME bloqué par l’administration ! UNE HONTE !

Handicap Mental

Nina, malgre la loi 2005 son acceuil en

noel_110IME bloqué par l’administration !

Trente centimètres de dossiers administratifs résument le combat mené par les parents de Nina pour qu’elle ait une vie aussi normale que possible. Ils pensaient que la loi du 11 février 2005 simplifierait les choses. Ses difficultés d’application anéantissent leurs derniers espoirs.

À voir son joli sourire, rien ne trahit que Nina est atteinte d’un lourd handicap. Et pourtant, pas moins de deux maladies génétiques orphelines jouent avec le destin de la jeune fille. Nina souffre, entre autres, d’un retard intellectuel. À 13 ans, elle possède, à peine, le niveau d’un élève de CP. Mais pour ses parents, Jean-Claude et Assunta Magliolo, c’est déjà une petite victoire : « Les médecins nous avaient dit qu’elle ne pourrait peut-être jamais lire, ni écrire… À force de combats pour qu’elle soit bien prise en charge, le résultat est là ».

Manque de structures

Et des combats, il a fallu en mener. « Nous avons déménagé de Sanary à Garéoult pour nous rapprocher de la CLIS (classe d’intégration scolaire) créée en 2003. En 2007, celle-ci a été menacée de fermeture alors que c’est la seule du canton ! »

La loi du 11 février 2005 était pourtant claire, reconnaissant « à tout enfant porteur d’un handicap le droit d’être inscrit en milieu ordinaire dans l’établissement le plus proche de son domicile. » Une loi pour l’égalité des chances qui, à peine mise en place, était déjà malmenée.

Grâce à une forte mobilisation, et le soutien de l’animateur Vincent Lagaf’, la CLIS garéoultaise a été sauvée et Nina a pu poursuivre son intégration.

Mais à 12 ans, il a fallu quitter ce cocon. Et la galère a repris. Les parents de Nina souhaitaient qu’elle intègre l’institut médico-éducatif du Pradet « Bell’estello ». « Nous suivons les recommandations des médecins. Tous sont unanimes pour dire que c’est la structure la plus adaptée pour que Nina continue d’évoluer et de progresser. Nous avons des certificats médicaux à l’appui ».

Pénurie de places et de structures adaptées, il a fallu jouer des coudes pour que Nina soit autorisée à accéder à ce formidable outil pour son intégration. Mais, las ! « Maintenant qu’il y a de la place, c’est le transport qui n’est pas pris en charge ! Nina a effectué un stage à l’IME du Pradet en septembre et a été jugée apte à intégrer l’établissement… »

Victimes de graves accidents qui les empêchent d’assurer, au pire, ce transport eux-mêmes (lire ci-dessous), Jean-Claude et Assunta avaient demandé un complément de prise en charge pour ce faire auprès de la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH).

Malgré l’appui des assistantes sociales et l’apparente compassion de la CDAPH (commission des droits de l’autonomie des personnes handicapées) devant laquelle Jean-Claude a plaidé la cause de sa fille, le couperet est tombé le 21 janvier dernier : fin de non-recevoir.

Maintenant ou jamais

Dix petits kilomètres séparent l’adolescente de « sa » chance d’un horizon éclairci. « Une aire de ramassage se situe à Cuers. On voudrait juste que le transfert de la maison à ce site soit assuré… Il y a des fonds, mais la loi n’est pas appliquée. Ce sont des dysfonctionnements inadmissibles. C’est avec l’avenir de nos enfants que l’on joue ».

Une situation qui mine toute la famille, consciente que si Nina ne reçoit pas la stimulation adéquate, les progrès constatés pourraient petit à petit ne plus être acquis. « Pour l’heure, elle est dans l’unité pédagogique d’intégration (UPI) de Jean-Moulin à Brignoles. La maîtresse et les assistantes de vie scolaire font un travail remarquable, mais cela reste un pis-aller. Il n’y a pas de prise charge psychologique et, dans deux ans, elle sortira du système et se retrouvera sur une voie de garage, sans bagages ni armes pour affronter la vie.

C’est maintenant ou jamais pour intégrer l’IME !

Le directeur lui a gardé sa place jusqu’en début d’année, mais si les choses ne se débloquent pas, notre fille aura raté le coche à cause d’une administration qui ne joue pas son rôle.

Il y a urgence » !

C. G.-b.

Source http://handicap.servhome.org/

C'est inadmissible de laisser une adolescente handicapée sans structure pou l'acceuillir tel qu'un IME ! J'ai eu les MEMES PROBLEMES AVEC MA FILLE QUI EST ELLE AUSI, HANDICAPEE COMME NINA. JE ME SUIS BATTUE PENDANT 5 ANS POUR QUE MA PUCE SOIT ADMISE EN IME !

C'EST UNE HONTE !

Une louve fibropensive & fibropoésiesjennyloup2ny7

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