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MON COMBAT CONTRE LA FYBROMYALGIE
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MON COMBAT CONTRE LA FYBROMYALGIE
  • La vie est un combat et malgré les maux, il nous faut avancer sur le chemin de notre destinée... - Attention, nous sommes ni médecins, ni thérapeutes. Vous devez absolument consulter avant de changer, arrêter ou prendre un traitement.
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15 décembre 2009

Elle bat son mari avec un steak

Elle bat son mari avec un steak

" La petite actualité insolite de la Planète "

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Cela peut sembler un peu ridicule, mais c’est comme ça. Une Américaine, dont le nom se voit précisé, vu qu’aux Etats-Unis la protection de l’anonymat des justiciables n’existe pas, vient de battre son mari avec un steak. Cru, précisons-le. La chose a apparemment son importance.

Que s’est-il passé? Ce qu’on appelle pudiquement un «drame de la mésentente», ou en fait de la lassitude. Elsie Egan, qui est âgée d’une cinquantaine d’années, a pour compagnon un handicapé. Handicapé physique. La vie commune n’est pas facile. Elle est faite de quantité de hérissements, sans doute mutuels. «Jusqu’à ce que la mort vous sépare», dit-on au moment du mariage. L’ennui, c’est qu’elle prend souvent son temps.

Le jour du drame, le couple était à table. C’est généralement le lieu du conflit, une fois que le lit a perdu ce rôle. Elsie a donc fait le repas. Elle tend une tranche de pain à son mari. Celui-ci la refuse. Elle insiste. Il persiste. Le ton monte. La dame entre dans une colère noire, motivée sans doute par mille incidents semblables. Elle court chercher le steak (encore cru). Et vlan! Elle en frappe le malheureux à plusieurs reprises. Mais pourquoi avec de la viande, au fait? Faut-il voir là un signe particulier ou symbolique? «C’est la première chose qui me soit tombée sous la main

Reste à justifier une telle agressivité. «Je voulais qu’il comprenne», a déclaré la mégère non apprivoisée. Comprenne quoi? Mystère. La haine a toujours quelque chose d’irraisonné. L’expliquer a posteriori tient du replâtrage intellectuel. Notez que des replâtrages de ce type ont au moins pour mérite de faire vivre quantité de «psys» de tout poil.

Si je peux vous raconter l’affaire, c’est parce qu’elle s’est ébruitée. Comment? La nouvelle ne le précise pas. On ignore ainsi si le mari est allé se plaindre. Toujours est-il que sa conjointe a été arrêtée (on arrête beaucoup aux Etats-Unis). Elle comparaîtra en justice pour «violence contre une personne handicapée». Jugement en janvier.

Cette petite histoire intervient alors que l’Espagne serre la vis aux violents conjugaux. Ils sont tous supposés masculins. En France, c’est la «violence faite aux femmes» qui fait en ce moment l’objet d’une campagne nationale d’information.

Les hommes ont-ils donc l’exclusivité de la manière forte? Evidemment pas! Ce serait du pur sexisme que de le croire. Deux catégories d’époux en constituent la cible privilégiée. Il s’agit comme ici des infirmes. Mais ils ne sont pas seuls. N’oubliez pas que beaucoup d’épouses ont un conjoint bien plus âgé qu’elle. Il finit donc par tomber sous leur dépendance. Leur coupe. Un mot qui dit bien la situation nouvelle. En position de faiblesse, le malheureux risque de prendre des coups. Et très peu d’entre eux osent, ou ont les moyens, de se plaindre…

Source http://www.lesquotidiennes.com/

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Je rajouterais personnellement : Pourquoi,  il y tant de violence sur les enfants, envers les handicapés et les vieillards ?

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