Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
MON COMBAT CONTRE LA FYBROMYALGIE
MON COMBAT CONTRE LA FYBROMYALGIE
Newsletter
Derniers commentaires
MON COMBAT CONTRE LA FYBROMYALGIE
  • La vie est un combat et malgré les maux, il nous faut avancer sur le chemin de notre destinée... - Attention, nous sommes ni médecins, ni thérapeutes. Vous devez absolument consulter avant de changer, arrêter ou prendre un traitement.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Pages
4 septembre 2008

Douleur de l'adulte

Douleur de l'adulte : mode d'emploi
des antalgiques

Mal de tête, douleur dentaire, brûlure, plaie, contusion, mal de ventre, crampe…, la douleur peut avoir de nombreuses origines. Quant à son traitement, il diffère en fonction de la nature de la douleur et de sa localisation. Ce qu'il faut savoir pour bien s'automédiquer avec les antalgiques.

Le traitement de la douleur

Certaines douleurs peuvent être atténuées par l'application de glace, comme les contusions par exemple, d'autres, par l'application de chaleur (bouillotte). Parfois, il suffit d'adopter de bons comportements comme : une bonne hygiène buccodentaire et des consultations régulières chez le dentiste pour prévenir les douleurs dentaires, des exercices physiques, des changements de postures voire une perte de poids en prévention des douleurs du dos, ou encore le port de protections pour la pratique de certains sports afin d'éviter les blessures.
Si ces mesures ne sont pas suffisantes pour prévenir ou soulager vos douleurs, vous pouvez recourir à un médicament antalgique. 

Les antalgiques : médicaments anti-douleur

Les antalgiques sont capables de diminuer ou de supprimer la douleur. Ce sont le paracétamol, les anti-inflammatoires et l'aspirine. Pour chaque classe médicamenteuse, il existe des règles d'automédication.
A lire sur e-sante

Recommandations générales concernant les antalgiques
  • Suivez la posologie indiquée sur la notice et la dose maximale quotidienne.
  • Respectez un intervalle de temps suffisant entre 2 prises d'antalgique, comme indiqué sur la notice.
  • Pour limiter les risques de surdosage, évitez d'associer ou d'alterner des antalgiques de composition différente.
  • Si vous prenez d'autres médicaments, vérifiez qu'ils ne contiennent pas également un antalgique (paracétamol, anti-inflammatoire ou aspirine).
  • Ne prenez pas d'antalgique si vous souffrez d'une maladie du foie ou des reins, voire du cœur pour les anti-inflammatoires et l'aspirine ou en cas de problèmes digestifs (ulcère d'estomac, du duodénum, etc.) : demandez l'avis de votre médecin.
  • N'utilisez pas de l'aspirine pour calmer les douleurs de règles.
  • L'aspirine peut interagir avec de nombreux médicaments, notamment les anticoagulants, les anti-inflammatoires ou les médicaments de la goutte : demandez l'avis de votre médecin.
  • Pas d'anti-inflammatoire chez la femme enceinte ou qui allaite, ni d'aspirine : orientez-vous vers le paracétamol.
  • Le choix de l'antalgique dépend du type de douleur, de son intensité et de l'état de santé.
  • D'une façon générale, privilégiez toujours le paracétamol et les spécialités simples, c'est-à-dire ne contenant qu'un seul composant.
Prudence avec la codéine

Certains antalgiques sont associés à la codéine. Ils doivent être utilisés qu'en seconde intention pour traiter des douleurs d'intensité modérée.
La codéine est contre-indiquée : en cas d'asthme, de maladies respiratoires, d'allaitement, d'allergie à la codéine…
La codéine peut provoquer des troubles de la vigilance. Elle est donc à éviter en cas de conduite ou d'utilisation de machine. L'alcool est aussi à éviter.
La codéine peut interagir avec de nombreux autres médicaments : antidépresseurs, antitussifs, anti-allergiques… Demandez l'avis de votre médecin si vous prenez un autre médicament.
Et enfin, il faut savoir que chez le sportif, la codéine peut entraîner des réactions positives aux tests antidopages.

Stoppez votre traitement et demandez l'avis de
votre pharmacien ou médecin si :
  • la douleur persiste,
  • le traitement vous semble insuffisamment efficace,
  • la douleur vous réveille la nuit.

A lire sur e-sante

Ibuprofène : 11 précautions s'imposent
Aspirine : 12 points clés pour une automédication réussie
Paracétamol : les règles de l'automédication
 

Source

Publicité
Commentaires
Publicité