Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
MON COMBAT CONTRE LA FYBROMYALGIE
MON COMBAT CONTRE LA FYBROMYALGIE
Newsletter
Derniers commentaires
MON COMBAT CONTRE LA FYBROMYALGIE
  • La vie est un combat et malgré les maux, il nous faut avancer sur le chemin de notre destinée... - Attention, nous sommes ni médecins, ni thérapeutes. Vous devez absolument consulter avant de changer, arrêter ou prendre un traitement.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Pages
27 juillet 2014

7 somnifères devraient bientôt être déremboursés

7 somnifères devraient bientôt
Etre déremboursés afin de
Réduire les prescriptions (France)

 

 

Le remboursement de 7 somnifères devrait passer de 65% à 15%, recommande la Haute autorité française de santé (HAS).

Étant donnés, la faible efficacité de ces médicaments sur la durée du sommeil, leurs effets délétères (effets secondaires) et le mésusage constaté, la Commission de la Transparence de la HAS a revu à la baisse leservice médical rendu des benzodiazépineshypnotiques (somnifères) et médicaments apparentés pour la prise en charge des troubles sévères du sommeil

Les somnifères concernés sont les suivants 

  • estazolam (NUCTALON),
  • loprazolam (HAVLANE),
  • lormétazépam (NOCTAMIDE),
  • nitrazépam (MOGADON),
  • témazépam (NORMISON),
  • zolpidem (STILNOX),
  • zopiclone (IMOVANE),
  • et leurs génériques.

"Cette décision s’inscrit dans la continuité des recommandations de la HAS. En effet la HAS se positionne contre le renouvellement systématique des prescriptions d’hypnotiques", indique le communiqué. "Alors que leur durée de prescription est limitée à 4 semaines, on observe que leur consommation peut s’étendre sur plusieurs mois voire plusieurs années. Or, au-delà de 28 jours, l’efficacité est incertaine, les risques d’effets délétères augmentent (somnolence diurne, troubles de la mémoire, chutes, accidents,…) ainsi que celui de dépendance."

Devant toute insomnie autre qu’occasionnelle la HAS recommande que les règles d’hygiène du sommeil soient observées. De plus, en cas de nécessité, le recours aux thérapies cognitivo-comportementales devrait être favorisé en première intention. La prescription d’hypnotiques devrait être envisagée seulement en cas d’échec, à la plus faible dose et pour la plus courte période possible.

Rappelons qu'arrêter brusquement ces médicaments après une utilisation relativement prolongée entraîne un sevrage. La diminution progressive des doses prévient ou réduit le sevrage.

 

 

Psychomédia avec source: HAS

Publicité
Commentaires
Publicité