Comment guérir la fibromyalgie

Les questions de changement

Climatiques et 5 conseils

Que vous devez

Savoir pour survivre

La fibromyalgie et le changement climatique est un sujet proche et chère à beaucoup de gens qui souffrent de fibromyalgie (FMS, FM ou Fibro) des symptômes. Quand un changement de temps est sur vous, vous vous trouverez soit un tout petit peu mal à l'aise ou vous êtes-dans la misère absolue. Cet article vous expliquera ce qui est la cause du problème et ce que vous pouvez faire à ce sujet. Je vais vous donner les questions, les réponses et conseils trois bonus supplémentaires qui vous aideront à vivre plus confortablement grâce à n'importe quel défi changement des conditions météorologiques.

Alors qu'est-ce au sujet de la météo qui fait la fibromyalgie si difficile? Quels sont les facteurs météorologiques qui influent sur tant de gens? Et que pouvez-vous faire à leur sujet pour être plus en contrôle de votre vie?

Tout d'abord, la fibromyalgie est une glissante, difficile à contrôler la maladie monstre,. Ses symptômes peuvent varier non seulement de jour en jour, mais même d'heure en heure. Si vous souffrez de fibromyalgie, il est souvent impossible de prévoir précise de comment vous vous sentirez à tout moment. Cela rend la planification tout état de cause difficile, surtout si le temps est à vélo à travers les changements saisonniers.

Si vous avez la fibromyalgie, ce ressemble probablement à votre vie. Je me souviens de cette façon quand j'étais si malade. Ma vie ne se sentait pas de contrôle. Le sentiment d'être piégé dans un interminable «changement de temps" cycle au moment ajouté à la tristesse ou la frustration que je luttais avec. Si j'avais une activité ou un événement au plan, je pourrais demander si j'étais sage de tenter du tout. La crainte de me laisser ou autres vers le bas souvent menacé mes bonnes intentions.

Beaucoup de gens trouvent qu'ils rencontrent plus de symptômes des changements de température, de pression d'air ou les précipitations. Ils peuvent ressentir:

• Se sentir plus fatigué (fatigue) 
• Dormir plus mal (troubles du sommeil) 
• D'autres, des douleurs spécifiques, comme les migraines 
• Tous les cours, plus de douleur généralisée, comme les douleurs musculaires

Voici les cinq facteurs météorologiques de base qui vous concernent:

1) La pression barométrique: La pression barométrique est une mesure du poids de l'air dans votre environnement. Lorsque le temps est chaud, ensoleillé et la pression barométrique est élevée, la plupart des gens se sentent mieux. Mais quand un front météorologique se déplace à l'intérieur et la pression barométrique chute rapidement, une personne se sent soudain la fibromyalgie bien pire.

2) Température: Que ce soit chaud ou froid, les changements de température peut vraiment déclencher des symptômes. "Change" est le mot à garder à l'esprit ici.

3) Humidité: Quand il ya une forte concentration d'humidité dans l'air, nous disons que c'est humide ou collante. Sauf pour quelques-uns qui peuvent souffrir d'une augmentation des maux de tête, raideur et la douleur tous les corps au-dessus, les niveaux d'humidité inférieurs sont généralement plus à l'aise.

4) les précipitations réelles: Lorsque tout type d'humidité est tombé du ciel, vous avez la précipitation. Pluie tend à attirer sur les la plupart des symptômes. C'est probablement parce que les événements de précipitations viennent souvent avec des changements de pression barométrique.

5) Vent: Voici un autre coupable qui est partenaire dans le crime avec la pression barométrique. Ils sont comme deux copains inséparables, sauf peut-être au bord de la mer. Avec le vent vous risquez de rencontrer plus de la fatigue, des maux de tête et douleurs musculaires.

Que pouvez-vous faire pour vous aider?

 Voici 3 conseils bonus qui pourraient vous aider:

Bonus Astuce # 1) Mettre en place la chaleur si vous avez froid, mais il en faire trop et vous aurez tendance à assécher votre nez, la bouche et les poumons, vous la mise en place d'être plus sensibles pour les symptômes d'allergies, les rhumes et autres .

Bonus Astuce n ° 2) Allumez votre système de climatisation. Cette aide certaines personnes, mais méfiez-vous que l'abaissement de la température autour de vous peut causer à vos muscles à faire mal.

Bonus Astuce n ° 3) Robe en couches. Ce n'est que la pointe de mieux! Que vous soyez à chaud, froid, sec ou de la transpiration de votre visage éteint, ayant des couches de vêtements que vous pouvez mettre et à enlever est un outil puissant qui vous permet de contrôler facilement.

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NEOSANTE

Comments

[fibromyalgie31]

Comme je le dis dans un post sur ce site, il y a autant de fibromyalgies que de fibromyalgiques..Chacun a ses symptomes et la vit, comme il peut, à sa façon.

Elle induit une polypathologie et tout le monde n'en souffre pas de la même façon.

Quel a été ton parcours de vie?, quel age as tu? que s'est il passé avant que tu déclenches la fibro? Quels examens as tu réalisés? quand as tu été diagnostiquée? Quel suivi d'aide as tu eu?

Si les médicaments ne font pas grand chose, c'est vrai, un petit mieux etre est peut être possible.

Donne nous des infos si tu veux un peu d'aide.

[fibromyalgie31]

Bonjour,

Pour pouvoir guérir, il faudrait d'abord savoir (et accepter) pourquoi on a déclenché une fibromyalgie. Ce n'est pas toujours facile.

On ne la déclare pas par hasard et on n'en parle pas beaucoup.



J'ai été diagnostiquée fibro en Octobre 2012 et n'ai eu de cesse depuis à mettre une raison et trouver un pourquoi. C'était pour moi essentiel;

Je commence à me sentir un peu plus résistante depuis.

J'ai trouvé une piste qui me parait (à moi) cohérente lorsque je décortique mon vécu .

Il y a autant de raisons de fibromyalgies que de fibromyalgiques et chacun à son parcours de vie.

L'une des raisons de la fibromyalgie pourrait (j'insiste bien sur ce mot pourrait) être des violences subies mais aussi celles que l'on a pu s'infliger à soi même. Les sources pouvant être nombreuses.

J'ai commencé à poser des "balises" significatives de ma vie:

Violences subies dans mon enfance, violences subies dans ma vie de mère,de femme et d'épouse.

Violences toujours "relativisées"

Puis sur la deuxième partie de ma vie à fond, (travailleur indépendant) énorme stress au travail, puis workhaolism (voir plus bas c'est interressant et je m'y retrouve totalement) qui m'a amenée au burnout et pour finir game over avec la fibro qui m'a fait définitivement lâcher et perdre mon entreprise.

J'ai passé 9 ans avec "des douleurs partout" avant de craquer définitivement.

J'ai un bon psychologue avec qui je peux réellement dialoguer et qui me suit dans le parcours de "guérison"qui me convient. On a mis en place la trousse de survie et on va à l'essentiel qui est pour moi "comment vivre avec et au mieux la fibro au quotidien".

J'ai bien sûr un traitement classique avec médicaments de la fibro + kiné pour massages, étirements et test d'une nouvelle technique (voir sur ce site rubrique Muscle où j'ai posté)

Je retrouve le sourire et commence à reprendre espoir.



Bon courage et bises à toutes.





Le Workhaolic ou Drogué du travail:

Tout le monde a déjà travaillé tard, emmené du travail à la maison pour terminer un dossier ou un projet. Mais chez certains, c’est devenu une règle, et le bureau ne quitte plus leurs pensées soirs et week-ends même arrivés chez eux. Le travail est omniprésent dans leur vie. Pour ces drogués du travail, le workaholism est une véritable addiction difficile à vivre et dont il est dur de se séparer.



Workaholism aux Etats-Unis, Karoshi au Japon, Ergomanie au Canada… l’addiction au travail est une réalité dans de nombreux pays, et toucherait 1 à 5 % de la population.



Définition

Le workaholism est un terme anglais qui désigne les bourreaux de travail. Ce terme a été inventé par analogie à l'alcoolisme (« alcoholism » en anglais) et se caractérise par une durée importante consacrée au travail (au minimum cinq heures chaque jour), un investissement professionnel très important. Souvent le workaholic a un profil psychologique de type obsessionnel compulsif, ses préoccupations tournent autour de l'ordre et du perfectionnement, il montre une réticence à déléguer des tâches ou à travailler avec quelqu'un d'autre, et néglige sa famille et autres relations sociales.



A savoir : bien que surtout destiné au monde du travail, le workaholism peut aussi toucher les loisirs (tels que les jeux vidéos, internet, le sport, la musique, l'art, un blog, ...) de la personne.



Un des maux du siècle ?

Le terme workaholism a été utilisé pour la première fois en 1968 dans un article du journal « Pastoral Psychology ». Il a été popularisé en 1971 par Wayne Oates dans son livre autobiographique (véritable best-seller aux Etats-Unis) « Confessions of a Workaholic ». Depuis, le terme est entré dans le langage courant, et se répand surtout depuis les années 1990 tout comme l’addiction elle-même. Cette dévotion à son travail vient d’ailleurs de cette époque là, où chacun donnait tout son temps à son travail. On trouve de très nombreux cas de workaholics aux Etats-Unis, là où le travail semble moins réglementé. Car en France avec les 35 h et les 5 semaines de congés payés, il est plus facile de se détacher du travail qu’un américain qui travaille 6 jours sur 7 et qui a environ 2 semaines de congés payés par an.



Pourtant cette addiction n’est vraiment pas à prendre à la légère, car elle use l’individu et son Entourage. Le malade peut aussi être sujet à des maux de tête, une dépression, des troubles du sommeil, des lombalgies, des troubles coronariens, des ulcère de l'estomac et de l'intestin ou de l’hypertension artérielle. Parfois, dans sa forme extrême, cette dépendance peut mener à la mort suite au syndrome d'épuisement professionnel, le burnout (reconnue comme une maladie professionnelle au Japon, où la famille de la victime peut demander un dédommagement de l'employeur, pour manque d'assistance à son employé, dont le comportement était autodestructeur).



Les causes

Les causes sont nombreuses et varient aussi selon le pays. Mais en général, le workaholic tombe dans une addiction au travail car pour lui c’est un moyen d'échapper à une situation de stress, c’est un moyen de protection vis-à-vis des tensions anxieuses ou de troubles dépressifs. Le workaholic recherche ainsi une valorisation de lui-même à travers le travail car il a une mauvaise image de lui-même, ou souffre d’un problème d’identification. Et dans certains cas, c’est tout simplement la reproduction du modèle parental ou même une suite presque logique à une hyperactivité lors de l’enfance.

Comment s’en apercevoir ?

Certaines études montrent que le workaholism touche plus les classes moyennes et supérieures dans les deux sexes et essentiellement les professions libérales (médecin, Avocat, juristes,...). Le symptôme le plus significatif du workaholic est la dépendance plus que fusionnelle qu’il a avec son travail. Le principe est assez simple : le malade se sent obligé de travailler sans cesse, comme si une pression interne le rendait coupable dès qu’il prend un moment de libre, et l’angoisse qu’il ressent lorsqu’il ne travaille est telle, qu’il se sent plus que tout obligé de travailler. Mais attention, ce n’est pas le fait de travailler même 60 heures dans la semaine parce qu’il le faut qui fait d’une personne un workaholic. C’est le fait de travailler parce que l’on en a besoin.



Pour certains spécialistes, le problème est plus qu’une simple addiction. Le workaholism serait même une forme particulière de trouble obsessionnel compulsif (TOC). La personne ne pense qu’au travail, qui devient un rituel véritablement obsédant dans sa vie, entraînant des comportements compulsifs, mais qui ne concernent pas l’hygiène personnelle ou la maison mais le travail.



Le traitement

Avant même de traiter quoi que ce soit, la première chose est que le workaholic reconnaisse son trouble. Et la majorité des bourreaux de travail ne se rendent pas compte de leur dépendance…. jusqu'au jour où ils rencontrent de graves problèmes de santé ou familiaux. Il existe aussi un questionnaire spécifique « The work addiction Risk test » de Bryan Robinson, qui permet de se rendre compte des choses et de dépister la dépendance. Des médicaments type antidépresseur peuvent être prescrits mais surtout, les thérapies comportementales et cognitives doivent être suivies car elles permettent de mettre en place des stratégies pour reprendre en main sa vie familiale et professionnelle... seul moyen de s’en sortir.







Source Bloc.com : http://www.bloc.com/article/sante/psycho/workaholism-2009-07-21.html#ixzz2PEEE1zdR

[annelyse]

SVP, arretez de raconter n'importe quoi sur la fibro qui me pourrit la vie depuis plus de 40 ans et atteint tout mon corps jusqu'au bout des doigts. Ne plus souffrir ? Nager 24 h / 24 meme dans la mer ou eau glacée en plein hiver comme je l'ai souvent fait .Je n'en ai plus la force aujourd'hui, mais toujours le courage de me mettre des packs de glace comme maintenant à l'heure ou je vous écrit n'ayant plus aucune solution et dans le plus grand désespoir de ce calvaire off the days and nights !