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MON COMBAT CONTRE LA FYBROMYALGIE
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MON COMBAT CONTRE LA FYBROMYALGIE
  • La vie est un combat et malgré les maux, il nous faut avancer sur le chemin de notre destinée... - Attention, nous sommes ni médecins, ni thérapeutes. Vous devez absolument consulter avant de changer, arrêter ou prendre un traitement.
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26 février 2011

Mal dormir ferait mourir plus tôt

Mal dormir ferait mourir plus tôt

Les hommes qui dorment mal ont davantage de risques de mourir plus tôt que les autres et de mourir par suicide. C'est la conclusion d'une étude européenne publiée dans l'American journal of epidemiology du 1er février 2011.

Les chercheurs ont analysé les données de presque 17 000 personnes appartenant à la "cohorte GAZEL", des agents d'EDF-GDF âgés de 36 à 52 ans au départ, qui ont été suivis entre 1990 et 2009. Les données recueillies concernaient leur consommation d'alcool et de tabac, leur travail de nuit, leur indice de masse corporelle et leur état de santé (hypertension, diabète, infarctus…). Durant toute la période, les participants ont aussi régulièrement répondu à un questionnaire sur leurs éventuels troubles du sommeil : prise de somnifères, difficultés à s'endormir ou réveil trop tôt, insomnies

Les auteurs de l'étude ont observé que le risque de mortalité des hommes, toutes causes confondues, augmentait avec le nombre de troubles du sommeil rapportés. Le mauvais sommeil joue aussi sur le risque de mort prématurée et de mort par suicide des hommes. En effet, le risque de décès par suicide est multiplié par cinq pour les hommes déclarant avoir au moins trois types de troubles du sommeil différents.

Les femmes sont également concernées par les résultats de cette étude puisque les difficultés à dormir des hommes comme des femmes ont été liées aux risques d'hypertension et de diabète.
 

Etude : Rod NH. Sleep disturbances and cause-specific mortality : Results from the GAZEL Cohort Study. Am J Epidemiol 2011 ; 173 : 300-9.

 

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Source : http://sante.planet.fr/

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R
Une étude menée en laboratoire chez des enfants de 3 à 5 ans montre que lattitude de leur mère nest pas sans conséquences. Si la maman réagit en donnant à manger à son enfant dès quil manifeste la moindre anxiété, il prendra vite lhabitude de grignoter des biscuits ou du chocolat en labsence de toute sensation de faim. Cest ainsi quun comportement de surconsommation alimentaire peut sinstaller durablement chez les enfants dont les mères utilisent la nourriture pour "gérer" les émotions de leur progéniture.. http://tn-technologie.com
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